💥 Mercato ASSE : pourquoi la SIGNATURE CHOC de Strasbourg rend la direction stéphanoise FURIEUSE ! 😡💸

Ce vendredi 11 juillet 2025, Mathis Amougou s’apprête à faire son retour en France — cette fois sous les couleurs du Racing Club de Strasbourg.

Une nouvelle qui fait grincer des dents à l’AS Saint-Étienne, qui espérait toucher un pourcentage sur la revente du joueur. Explications.

Le 3 février dernier, dans les toutes dernières heures du mercato hivernal, l’AS Saint-Étienne trouvait un accord avec Chelsea pour le transfert de Mathis Amougou. Montant de l’opération : 15 millions d’euros, plus un pourcentage sur une éventuelle revente.

Malheureusement pour le milieu international U19 français de 19 ans, son aventure en Angleterre a tourné court. Sous contrat avec les Blues jusqu’en 2033, Amougou n’a disputé que 7 minutes en Premier League et 15 en Ligue Europa Conférence.

Deux apparitions éclairs en six mois. Devant ce constat, toutes les parties ont convenu qu’un départ cet été serait la meilleure solution. L’ex-Blanc-Mesnilois va rebondir à Strasbourg — une destination qui dérange fortement les Verts.

❌ L’ASSE privée d’un précieux pourcentage sur la revente

Selon plusieurs sources, l’ASSE devait percevoir environ 20 % du montant d’une future vente de Mathis Amougou. Dans l’hypothèse d’un transfert à son prix initial de 15 millions d’euros, les Stéphanois auraient pu récupérer près de 3 millions d’euros. Une somme loin d’être négligeable pour un club toujours en Ligue 2.

Mais voilà le hic : Chelsea et le RC Strasbourg appartiennent tous deux au groupe BlueCo. Autrement dit, il ne s’agit pas d’une vente à un tiers indépendant, mais d’un mouvement interne. Résultat : la clause de revente ne s’active pas, et l’ASSE ne touche rien.

Seule compensation possible : les indemnités de formation, estimées à environ 200 000 euros. Un montant dérisoire face aux espoirs nourris par la direction stéphanoise.

Pendant que Strasbourg et le projet BlueCo se réjouissent du retour en Ligue 1 de l’une des pépites du football français, c’est la soupe à la grimace à Saint-Étienne. Le club du Forez aurait certainement préféré voir Amougou signer n’importe où ailleurs qu’en Alsace…