Mercato FC Nantes : Kita rejette l’OM et un club anglais !

Le mercato estival s’enflamme sur les bords de la Loire, et le FC Nantes se retrouve en plein cœur de l’agitation.

Les Canaris ont reçu plusieurs offres pour leur étoile montante, Matthis Abline, mais le président du club, Waldemar Kita, reste inflexible.

Malgré les propositions de l’Olympique de Marseille et du club anglais de Championship Sunderland, la direction nantaise a été claire : Abline ne partira pas à moins qu’un montant ahurissant de 50 millions d’euros ne soit mis sur la table.

Abline, âgé de seulement 21 ans, est rapidement devenu l’un des jeunes attaquants les plus prometteurs de Ligue 1.

Avec 11 buts et deux passes décisives en 36 matchs de championnat lors de la saison 2024–25, l’attaquant a brillé dans une saison par ailleurs difficile pour le FC Nantes.

Ses buts ont été cruciaux pour permettre au club de se maintenir en Ligue 1, et ses performances n’ont pas tardé à attirer l’attention.

Arrivé en prêt en provenance du Stade Rennais début 2023, Abline s’est rapidement adapté au style de jeu nantais. Ses déplacements, sa finition et son sang-froid dans la surface ont apporté une nouvelle dimension offensive à l’équipe.

Ce prêt a logiquement débouché sur un transfert définitif l’été dernier, le FCN levant l’option d’achat de 12 millions d’euros — une décision qui semble désormais être un véritable coup de génie.

Selon L’Équipe, l’OM a dégainé le premier cet été en formulant une offre de 15 millions d’euros. Le nouveau projet marseillais, sous la houlette de Roberto De Zerbi, s’articule autour de jeunes talents dynamiques — et Abline correspond parfaitement à ce profil.

Mais Kita aurait immédiatement rejeté l’offre, exigeant un montant supérieur à trois fois cette somme.

Ouest-France a ensuite révélé que Sunderland, désireux de retrouver la Premier League, avait soumis une offre améliorée de 20 millions d’euros. Là encore, la réponse a été catégorique.

La famille Kita, aux commandes du club depuis près de vingt ans, est formelle : pas question de brader leur joyau.

Si de nombreux observateurs jugent excessif le prix demandé de 50 millions d’euros, la direction nantaise estime que le potentiel d’Abline, conjugué à l’inflation du marché et à la rareté des buteurs fiables, justifie pleinement cette valorisation.

Reste à savoir si un club sera prêt à satisfaire ces exigences. Une chose est sûre : le FC Nantes ne compte pas vendre au rabais.